Nous atteignons Dushambe, bien content d'en finir avec cette route défoncée, et rejoignons l'Adventurer's Inn, où nous rencontrons et revoyons d'autres cyclo...... toujours en attente du permis pour entrer au Pamir.
Les combats auraient cessé mais peu d'informations fiables circulent.
La petite guesthouse n'a pas assez de chambres, et tout le monde campe dans le jardin,et nous aussi. Une ambiance sympathique, internationale, le soir, lorsque chacun se prépare sa tambouille dans la cuisine mise à disposition. Et à chacun de transmettre les infos qui arrivent au compte-goutte.
Nous avions espoir qu'en arrivant, la route serait à nouveau ouverte et que nous pourrions enchainer rapidement avec cette route mythique qui devrait nous emmener à près de 5000 m d'altitude.
Mais les nouvelles sont contradictoires et le permis n'est pas encore délivré. C'est veille de fête (fin de ramadan) et le fonctionnaire de l'OVIR nous dit de revenir mardi. Certaines infos arrivent en disant que la route est déjà ouverte ou qu'elle ouvrirait mardi, mais nous n'obtenons pas le précieux sésame, même en insistant par 3 fois. Bref, tout le monde attend et personne ne sait trop quoi faire.
La cour se transforme par moment en atelier à vélo car chacun profite de l'attente pour astiquer et remettre à neuf son précieux compagnon !!!
Nous n'avons pas d'autre choix que d'attendre le début de semaine et passerons 4 jours dans la ville.
On prépare des plan B, C, etc... en compagnie des autres voyageurs, devant quelques bières russes !
Le centre ville est concentré dans l'immense avenue Rudaki orientée nord-sud. Derrière le parc Rudaki, qui offre des allées pour la promenade, se trouve le nouveau palais présidentiel.
Dushambe est une petite capitale au pied des montagnes et ne possède pas de monuments historiques.
La langue tadjik est d'origine persane et ressemble au farsi d'Iran et constitue une exception au milieu des autres pays d'Asie Centrale de langue turcophone.
Aujourd'hui, dimanche c'est la fin du ramadan et la population déambule avec ses plus atours.
et nous attendons mardi, lundi étant jour férié.
Les combats auraient cessé mais peu d'informations fiables circulent.
La petite guesthouse n'a pas assez de chambres, et tout le monde campe dans le jardin,et nous aussi. Une ambiance sympathique, internationale, le soir, lorsque chacun se prépare sa tambouille dans la cuisine mise à disposition. Et à chacun de transmettre les infos qui arrivent au compte-goutte.
Nous avions espoir qu'en arrivant, la route serait à nouveau ouverte et que nous pourrions enchainer rapidement avec cette route mythique qui devrait nous emmener à près de 5000 m d'altitude.
Mais les nouvelles sont contradictoires et le permis n'est pas encore délivré. C'est veille de fête (fin de ramadan) et le fonctionnaire de l'OVIR nous dit de revenir mardi. Certaines infos arrivent en disant que la route est déjà ouverte ou qu'elle ouvrirait mardi, mais nous n'obtenons pas le précieux sésame, même en insistant par 3 fois. Bref, tout le monde attend et personne ne sait trop quoi faire.
La cour se transforme par moment en atelier à vélo car chacun profite de l'attente pour astiquer et remettre à neuf son précieux compagnon !!!
Nous n'avons pas d'autre choix que d'attendre le début de semaine et passerons 4 jours dans la ville.
On prépare des plan B, C, etc... en compagnie des autres voyageurs, devant quelques bières russes !
Le centre ville est concentré dans l'immense avenue Rudaki orientée nord-sud. Derrière le parc Rudaki, qui offre des allées pour la promenade, se trouve le nouveau palais présidentiel.
Dushambe est une petite capitale au pied des montagnes et ne possède pas de monuments historiques.
La langue tadjik est d'origine persane et ressemble au farsi d'Iran et constitue une exception au milieu des autres pays d'Asie Centrale de langue turcophone.
Aujourd'hui, dimanche c'est la fin du ramadan et la population déambule avec ses plus atours.
et nous attendons mardi, lundi étant jour férié.
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| palais présidentiel à Dushambe |
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| en plein boulot |
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| avec Jean-Philippe, voyageur suisse |
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| Maryan, en train de réviser son vélo |
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